jeudi 22 septembre 2022

Quand la planète se détraque...

 



Je veux mettre à l'honneur cette poésie de Marie Minoza  ICI

Tout ce que nous avons eu à déplorer ces derniers temps est dans ses mots.

Nous ressentons tant de tristesse, elle nous submerge quand nous nous questionnons sur  l'avenir de la nature et des hommes.







Forêt landaise à Mimizan




22 commentaires:

  1. J'avais vu ce poème tristement vrai chez Marie, c'est un joli clin d'oeil que tu fais à ses poésies toujours de qualité et de sensibilité. Bisous

    RépondreSupprimer
  2. Ce poème est très beau, je l'avais découvert sur son blog et en effet il dit tout ce que nous ressentons en ce moment avec beaucoup de délicatesse. Merci de la mettre à l'honneur avec tes photos du jour (pour répondre à ta question, je n'ai reçu aucun mail d'Overblog donc je ne suis pas au courant du tout). Je t'embrasse

    RépondreSupprimer
  3. Il me semble que le grand cerf et l'oiseau se remettront plus facilement que les humains, car ils n'ont pas de mémoire sinon celle qui leur permet de survivre. Et c'est tant mieux car ils ne sont pas responsables et ils se projettent dan un avenir moins lointain que celui où les arbres des forêts auront repris toute leur place
    Bises Marine(s)

    RépondreSupprimer
  4. Ces derniers temps de quoi se faire de la bile.... pour la planète et ses habitants, tant ces derniers ne se soucient que de leur bourse, merci... jill

    RépondreSupprimer
  5. Merci chère Marine de déposer le superbe poème de Marie. Je l'ai lu sur son blog. Il est écrit avec beaucoup de sensibilité.
    Merci aussi pour cette belle forêt landaise, protégeons notre nature.
    Gros bisous et belle journée ♥

    RépondreSupprimer
  6. oui j'aime beaucoup les poèmes de Marie écrit avec sa grande sensibilité qui me touche à chaque fois.

    RépondreSupprimer
  7. Marie est une grande poétesse avec ses mots douceurs, elle sait exprimer tant de sentiments et en ce moment, cette désolation avec cette multitude d'incendies fait si mal..

    RépondreSupprimer
  8. Merci Marine pour cette prise de conscience qu'il faut avoir en tête . Tu 'las fait avec la poésie et cette manière délicate d'associer mots et images pour nous faire réfléchir et murir vers du bon à venir . L'espoir de Marie Minoza est à prendre entre les lignes et sans fards

    RépondreSupprimer
  9. J'aime beaucoup ton poème publié chez Sedna !
    Bises du soir

    RépondreSupprimer
  10. Quand les mots et les images se répondent...
    Magnifique !

    Bon week-end :-)

    RépondreSupprimer
  11. Merci Marine d'avoir mis à l'honneur la poésie sensible de Marie, et pourtant si forte, si profonde.
    Je comprends ta tristesse par tes mots. J'ai pensé à toi lors des terribles incendies..
    Je t'embrasse et j'espère.

    RépondreSupprimer
  12. Nous ne sommes pas maître de la nature ..... ♥ ....quelle époque .....

    RépondreSupprimer
  13. merci pour cette mise en avant de cette poésie et de cet auteur, j'avoue que c'est la désolation dans la forêt des Landes, mais aussi ailleurs, cela devrait faire reflechir. bises.celine

    RépondreSupprimer
  14. Bonjour Marine. C'est un joli poème. Ces incendies, souvent d'origine criminelle, sont dramatiques pour la faune et la flore et pour tous ceux qui ont été touchés par les évacuations ou -pire- ont perdu des biens ou ont été blessés. Bisous

    RépondreSupprimer
  15. J'aimerais tant retrouver la forêt d'avant, les pins qui se balancent, le chevreuil qui s'enfuit, les odeurs de résine et d'aiguilles séchées .... pourtant le cauchemar est toujours là, aussi j'ai fui ces pauvres terres brûlées pour retrouver un semblant de sérénité.
    Merci Marine; je t'embrasse.

    RépondreSupprimer
  16. magnifique poème en effet ! et cette forêt que nous avions vu une semaine avant que les feux ne se déclenchent ça me donne les larmes aux yeux....gros bisous ma belle !

    RépondreSupprimer
  17. Je n'ai pas de mots pour te remercier... J'ai pleuré en voyant ta page... J'aurais aimé dire encore plus et mieux les émotions engendrées par ces catastrophes qui ont fait mourir nos belles forêts... Les tableaux de Philippe Cognée m'ont aidée... De cendres et de braises, où s'en va notre terre, où s'en va la vie?... Elle renaîtra comme ces petites fleurs que j'ai prise sur les cendres d'un volcan aux Canaries... Il faut y croire... Encore Merci...

    RépondreSupprimer
  18. En descendant vers les Pyrénées en juillet , nous sommes passés au milieu des Landes... Pas d'arbres incendiés, nous admirions ces paysages à préserver,quand juste devant nous une petite parcelle qui avait dû brûler l'an passé... D'un arbre s'est détaché soudain une branche calcinée qui a frappé le camping-car... Un choc, un bruit, des traces... un appel, un cri... pour nous dire "préservez-nous, on ne veut pas mourir"...... on n'oubliera pas!...

    RépondreSupprimer
  19. Je crois que mon commentaire n'est pas passé!... En voyant ta page, j'ai pleuré car j'avais eu beaucoup de mal à mettre des mots sur ces incendies... Les peintures de Philippe Cognée m'ont aidée ainsi que le poème de Sedna :http://www.cassiopee17.fr/?p=8097 ... Merci à toi... je n'ai pas de mots...

    RépondreSupprimer
  20. Tellement triste ! Mais non tout n'est pas encore mort, il reste une petite fleur au pied des ruines !
    Je t'embrasse ma douce et lointaine amie

    RépondreSupprimer
  21. Très beau mais bien triste ce poème. La nature, avec le temps, retrouvera sa vigueur et sa beauté, en espérant que l'homme comprenne ses leçons et n'oublie pas cette désespérance en retrouvant la raison.
    Bises amicales

    RépondreSupprimer