dimanche 10 août 2025

P'tit Gibus

 


Pour le thème 183 proposé par Ecureuil Bleu : Parfums d'enfance j'ai revu ce petit texte

J'ai besoin de parler d'eux, vous ne m'en voudrez pas !




Avec ta coupe au bol

Ton air candide de P'tit Gibus

Tu faisais, comme on dit

Tourner ton Papé en bourrique...


... Papé on va voir passer le « crain » ?

Le crain, le joli crain !

Le train sans la garde barrière


La nature était déjà ton univers

Les chiens joyeux vous accompagnant

Ton frère et toi, toujours ensembles

Suivant Papé sur les chemins

Dans les bois et les vignes

La chasse était prétexte

Aux découvertes

Fruits et parfums de la terre

C'était le grain prêt à germer...

Regard d'ambre et bouille ronde

Et quand tu as grandi

La tendresse bien cachée

Sous un voile d'ironie

Et la passion pour guide...

 

Et tu fus mon Xavier, entre autres combats, Président de la Maison de la Nature à  Pau, ton frère Arnaud était si fier de toi, de ton élevage, de tes convictions.

 


21 commentaires:

  1. Non Marine, bien sûr que non, en parler c'est les garder vivants en quelque sorte..... Bien tristes de perdre ses enfants !!! Bises jill

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  2. Bonjour ma douce Marine,
    Bien sûr que non nous ne t'en voudront pas, c'est tout à fait normal de les avoir toujours près de soi, je comprends parfaitement ton ressenti
    Gros gros bisous, bon dimanche ma douce Marine
    Floralie

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  3. Emouvant poème;
    Bise du dimanche

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  4. Un très beau texte, merci !
    Beau dimanche Marine.

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  5. Un texte très émouvant ma Zoupinette, et une superbe photo en noir et blanc.
    Bises et bon dimanche - Zaza

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  6. Toujours vivants au cœur. Bien sûr que tu as raison de nous les faire connaître

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  7. Ne t'empêche pas !
    Ils sont vivants en toi et dans le coeur de la Vie.
    Tendresse de tes mots, de tes souvenirs mêlés aux leurs...l'Amour ne meurt pas.

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  8. Bonjour Marine,
    J'aime beaucoup le poème et cette photo ancienne qui est charmante!
    Bises.
    Bon après-midi,
    Mo

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  9. Un parfum toujours là ma Zoupie celui de l amour

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  10. Des souvenirs qui restent encrés au fond du coeur et qui ne s'effaceront jamais !!

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  11. Bonjour Marine,
    Victor Hugo avait dit "les gens sont réellement morts lorsqu'on ne parle plus d'eux" Comme c'est exact. Comment t'en vouloir de parler de ton petit bonhomme.
    A cette coupe au bol je crois que tous les petits garçon de cette génération l'avait. Le mien l'avait aussi et c'était si mignon.
    Ton texte est émouvant et si beau. Je te remercie.
    Douce semaine Marine. Je t'embrasse.

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  12. Je m'excuse j'ai oublié de mettre mon URL Re bises

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  13. Lu chez Ecureuil Bleu. Et je suis émue...Et il est bien normal que tu nous parles de ton Xavier. Et de son frère Arnaud.
    Je t'embrasse chaleureusement Marine
    Passe une bonne journée

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  14. je renvoie mon commentaire, le précédent parti du téléphone, alors je ne sais s'il est arrivé à destination. Un beau texte et bien entendu que nous partageons tes pensées pour tes enfants toujours là dans une grande place de ton coeur.

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  15. Quelle émotion dans ton poème, c'est magnifique. Gros bisous Marine. cathy

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  16. En parler c'est aussi les faire un peu revivre en nous avec des images pleins de souvenirs! Avec toute mon amitié

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  17. Superbe !!!
    Bien sûr, parler d'eux, ça te fait du bien !!!
    Et ici, c'est l'occasion de joindre les mots et les images :-)
    Douce fin de semaine :-)

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  18. Bonjour Marine,
    Comment t'en vouloir de cette tendre nostalgie... J'applaudis au contraire tes mots de maman affectueuse et aimante !
    Gros bisous et bon week-end. Annie

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  19. Oh Marine que je te comprends de revivre ces instants heureux avec tes petits amours Xavier et Arnaud. Ils sont toujours dans ton coeur.
    Ton billet est tendre, plein d'émotion. Nous ne pouvons pas t'en vouloir. De quoi voudrais-tu ?
    Ils sont la vie, près de toi, présents.
    J'ai reçu ton billet avec affection et mes yeux se sont emplis de larmes.
    bisous

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  20. Oh, cette photo, ça me fait souvenir de moi petit. Je disais au chien de mes grands parents paternels, " regarde Moulouk comme j'ai un beau vélo ".
    Super sympa de t'être exprimée sur ce sujet.
    J'ai le souvenir de petit Gibus voulait des frites. Ils n'avaient que de la purée. Il a mené une de ses vies.
    Et au manège après fermeture, les tontons devaient faire tourner en poussant.
    Bonne semaine. ✓ Yann

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  21. J'aime beaucoup cette photo et ton texte.
    Bonne journée !
    Bises !
    Claude

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