Pour le thème 183 proposé par Ecureuil Bleu : Parfums d'enfance j'ai revu ce petit texte
J'ai besoin de parler d'eux, vous ne m'en voudrez pas !
Avec ta coupe au bol
Ton air candide de P'tit Gibus
Tu faisais, comme on dit
Tourner ton Papé en bourrique...
... Papé on va voir passer le « crain » ?
Le crain, le joli crain !
Le train sans la garde barrière
La nature était déjà ton univers
Les chiens joyeux vous accompagnant
Ton frère et toi, toujours ensembles
Suivant Papé sur les chemins
Dans les bois et les vignes
La chasse était prétexte
Aux découvertes
Fruits et parfums de la terre
C'était le grain prêt à germer...
Regard d'ambre et bouille ronde
Et quand tu as grandi
La tendresse bien cachée
Sous un voile d'ironie
Et la passion pour guide...
Et tu fus mon Xavier, entre autres combats, Président de la Maison de la Nature à Pau, ton frère Arnaud était si fier de toi, de ton élevage, de tes convictions.
Non Marine, bien sûr que non, en parler c'est les garder vivants en quelque sorte..... Bien tristes de perdre ses enfants !!! Bises jill
RépondreSupprimerBonjour ma douce Marine,
RépondreSupprimerBien sûr que non nous ne t'en voudront pas, c'est tout à fait normal de les avoir toujours près de soi, je comprends parfaitement ton ressenti
Gros gros bisous, bon dimanche ma douce Marine
Floralie
Emouvant poème;
RépondreSupprimerBise du dimanche
Un très beau texte, merci !
RépondreSupprimerBeau dimanche Marine.
Un texte très émouvant ma Zoupinette, et une superbe photo en noir et blanc.
RépondreSupprimerBises et bon dimanche - Zaza
Toujours vivants au cœur. Bien sûr que tu as raison de nous les faire connaître
RépondreSupprimerNe t'empêche pas !
RépondreSupprimerIls sont vivants en toi et dans le coeur de la Vie.
Tendresse de tes mots, de tes souvenirs mêlés aux leurs...l'Amour ne meurt pas.
Bonjour Marine,
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup le poème et cette photo ancienne qui est charmante!
Bises.
Bon après-midi,
Mo
Un parfum toujours là ma Zoupie celui de l amour
RépondreSupprimerDes souvenirs qui restent encrés au fond du coeur et qui ne s'effaceront jamais !!
RépondreSupprimerBonjour Marine,
RépondreSupprimerVictor Hugo avait dit "les gens sont réellement morts lorsqu'on ne parle plus d'eux" Comme c'est exact. Comment t'en vouloir de parler de ton petit bonhomme.
A cette coupe au bol je crois que tous les petits garçon de cette génération l'avait. Le mien l'avait aussi et c'était si mignon.
Ton texte est émouvant et si beau. Je te remercie.
Douce semaine Marine. Je t'embrasse.
Je m'excuse j'ai oublié de mettre mon URL Re bises
RépondreSupprimerLu chez Ecureuil Bleu. Et je suis émue...Et il est bien normal que tu nous parles de ton Xavier. Et de son frère Arnaud.
RépondreSupprimerJe t'embrasse chaleureusement Marine
Passe une bonne journée
je renvoie mon commentaire, le précédent parti du téléphone, alors je ne sais s'il est arrivé à destination. Un beau texte et bien entendu que nous partageons tes pensées pour tes enfants toujours là dans une grande place de ton coeur.
RépondreSupprimerQuelle émotion dans ton poème, c'est magnifique. Gros bisous Marine. cathy
RépondreSupprimerEn parler c'est aussi les faire un peu revivre en nous avec des images pleins de souvenirs! Avec toute mon amitié
RépondreSupprimerSuperbe !!!
RépondreSupprimerBien sûr, parler d'eux, ça te fait du bien !!!
Et ici, c'est l'occasion de joindre les mots et les images :-)
Douce fin de semaine :-)
Bonjour Marine,
RépondreSupprimerComment t'en vouloir de cette tendre nostalgie... J'applaudis au contraire tes mots de maman affectueuse et aimante !
Gros bisous et bon week-end. Annie
Oh Marine que je te comprends de revivre ces instants heureux avec tes petits amours Xavier et Arnaud. Ils sont toujours dans ton coeur.
RépondreSupprimerTon billet est tendre, plein d'émotion. Nous ne pouvons pas t'en vouloir. De quoi voudrais-tu ?
Ils sont la vie, près de toi, présents.
J'ai reçu ton billet avec affection et mes yeux se sont emplis de larmes.
bisous
Oh, cette photo, ça me fait souvenir de moi petit. Je disais au chien de mes grands parents paternels, " regarde Moulouk comme j'ai un beau vélo ".
RépondreSupprimerSuper sympa de t'être exprimée sur ce sujet.
J'ai le souvenir de petit Gibus voulait des frites. Ils n'avaient que de la purée. Il a mené une de ses vies.
Et au manège après fermeture, les tontons devaient faire tourner en poussant.
Bonne semaine. ✓ Yann
J'aime beaucoup cette photo et ton texte.
RépondreSupprimerBonne journée !
Bises !
Claude