En gardant la petite laine, et le parapluie
Le Printemps des poètes 2025, le thème est Volcanique
VOLCANIQUE
Faut-il que les démons emplissent nos poumons ?
Faut-il que ceux que nous aimons s’effacent
Dans le noir des saisons mortes
Enfermées dans le pire des chaudrons
Tu vas laisser exploser
Ce volcan qui attend tel un monstre entravé
Machoullant dans ses braises fumantes
Tout ce que tu n'as pas dit
Tout ce qui te ronges
Tu vas sauver ton âme
Retrouver ton amour disparu
Celui qui brule jusqu'au bout
Au creux de ces nuages qui sont des cocons
De refuge et de douceur
Ils sauront te bercer
Loin de la menace des cracheurs de feu
là, où nous rejoindrons ceux qui comptent
Qui ont éclairé nos chemins de hasard
Tu retrouveras la plénitude
Avec les Croqueurs de mots, chez Durgalola
Bonjour Marine, espérons si cet au-delà existe qu'il soit pleinement paix et sérénité.... Ici bas, c'est toujours la fureur des dirigeants qui nous étreint !! Bises jill
RépondreSupprimerEspérons que cet au-delà existe, ma Zoupinette.
RépondreSupprimerBises et bon début de semaine - Zaza
Bonjour Marine,
RépondreSupprimerMerci pour ce beau texte puissant!
Bises.
Bon après-midi,
Mo
Un vrai coup de coeur pour ce poème puissant chargé de toutes nos émotions
RépondreSupprimerune explosion qui nous triture les entrailles
RépondreSupprimeril en reste un chaos dans l'âme
et dans ce monde perdu qui nous consolera ?
de la douleur palpable... je t'embrasse fort ma Zoupie
RépondreSupprimerBruler son âme dans la lave du volcan, comme une catharsie !!
RépondreSupprimerMerci pour ce magnifique poème. J'en retiens tu vas sauver ton âme. Bonne fin d'après-midi.
RépondreSupprimerVas savoir Andrée ?
SupprimerRetrouver un jour la plénitude et tous nos chers disparus... C'est ce que je nous souhaite! Bises alpines.
RépondreSupprimerJ'ai si peur de ce monstre qui crache le feu destructeur mais lorsque je regarde les nuages, j'ai foi en l'humanité. Je ne sais ma Marine si au-delà de la fureur , existe un monde de paix mais je sais que ceux qui comptent continuent de nous guider .
RépondreSupprimerJe t'embrasse fort
Véronique
Nous tentons d'y croire pour alléger ce manque qui est si grand !
SupprimerBisous ma douce Véronique
Pour éviter d'exploser comme un volcan il ne faut pas attendre pour dire tout ce qui nous ronge, tout ce que nous pensons, les non dits c'est très mauvais.
RépondreSupprimerTu as posé de jolis mots Marine sur cette photo ... explosive !
Belle soirée, bisous.
Cathy
Ecrire pour moi, comme pour beaucoup est une thérapie Cathy. Merci et bisous
SupprimerSuperbe, Marine !!! Mille bravos !
RépondreSupprimerBonne semaine,
Bises
Quel beau texte...il y a tant de choses qu'on ne dit pas et qui restent ainsi au fond de nous, tant de tristesse, de mots d'amour, et d'espoir aussi...espérons en effet que la paix nous attende là où nous irons...Je t'embrasse fort
RépondreSupprimerNous ne devons pas accepter que les monstres envahissent notre coeur, sinon...
SupprimerJe t'embrasse Manou, merci
belle interprétation pour être en osmose avec le thème du printemps des poètes. Je suis revenue lire ton poème avec tant de connotations avec ce monde
RépondreSupprimerBonjour Marine,
RépondreSupprimerTon poème est d'une intensité bouleversante ! Les images volcaniques sont très fortes et la tension émotionnelle est palpable. J'ai été particulièrement touchée par la façon dont tu as exprimé la lutte intérieure et la quête de paix .
Bravo pour cette performance poétique !
Bien amicalement, Marie Sylvie
Une explosion qui peut faire peur. La paix intérieur est un bonheur.
RépondreSupprimerPasse une bonne journée
bises
Ton poème est plein d'émotions qui peuvent exploser comme le volcan. Bonne journée et bisous
RépondreSupprimerComment se retenir de hurler devant les injustices du sort, les accidents de la vie, les disparitions de nos êtres chers ? Tel le volcan qui gronde, quand tout bouillonne à l'intérieur , il faut laisser couler cette lave incandescente qui pourrait nous anéantir.
RépondreSupprimerIl est très beau ton poème Marine, il fait aussi une place à l'apaisement, à l'espoir .
Je t'embrasse
je trouve cela très beau, bravo
RépondreSupprimerOn est de terre et de feu, cendres incandescentes, on s'y brûle nos ailes parfois, celles qui serviront à s'élever vers les moutons du ciel, nuages.
RépondreSupprimerDans quelques années pourrons nous sauter à pieds joints sur la molle densité du cumulonimbus . .... Ceci pour l'éternité. Merci par tes idées si bien ciselées, de m'avoir permis de rebondir de nuages en nuages, amic@lement. > Yann
Très joli poème. Oui, il faut brûler pour bien ressentir les choses !
RépondreSupprimerJe me glisse dans le commentaire de Balaline.
RépondreSupprimerL'écriture exorcise tous nos volcans.
Et tu sais le faire d'une si belle façon ♥♥
Je t'embrasse ma Zoupie !
Merci pour ton passage poétique.
Bonjour, ma petite visite du vendredi, tout d'abord pour te remercier de tes passages sur mes blogs, et te souhaiter un agréable week-end Bises M@rie
RépondreSupprimerhttps://marie1739.blogspot.com/
https://marie17catarino.blogspot.com/
https://marieke173925.blogspot.com/
Quel beau texte !!!
RépondreSupprimerSuperbe !!!:-)
Oui ! Voila de la belle poésie ! Merci pour cet agréable partage . Je te souhaite de passer une bonne fin de semaine. Cordiales amitiés & à +
RépondreSupprimerBonjour ....magnifique texte ....et des souvenir pour moi (Daniel) quand je suis monter sur Etna ..... bisous et bonne après midi
RépondreSupprimerMerci pour ta participation. J'apprécie particulièrement. Bises. Andrée
RépondreSupprimerDans le billet bois des blogs potes, tu me parles de " vert moulu ".
RépondreSupprimerMais quelle est cette nuance de vert?
> Yann
Dans ton interface, l'endroit où tu publies tes billets, la liste de gauche comprend "liste de lecture" (avant-dernière rubrique).
RépondreSupprimerSi tu cliques, apparait la page de tes abonnés et leurs publications.
Sur cette cette page, en haut, à droite, s'affiche "gérer". Tu cliques et sur la nouvelle page qui s'affiche avec les url de tes abonnés, tu cliques sur "ajouter" et tu pourras ajouter mon url.
Donc, normalement quand je publie un nouveau billet, il s'affichera dans ta "liste de lecture"
Tu figures dans ma liste de lecture parce que j'ai fait cette manipulation.
Ma liste n'est pas publique, (on peut choisir) parce que trop longue. Et je n'aime pas encombrer ma page principale.
Par quel moyen as-tu accès aux publications de tes abonnés ?
Grand merci ma Fifi ! Todo va bene !
Supprimermerci bonjour une bonne journee ce jeudi jour du printemps bisous
RépondreSupprimerMais non, ceux que nous aimons ne s'effacent pas, ils ne vieillissent pas et il suffit d'un rien pour que leur image remonte dans notre coeur et notre esprit.
RépondreSupprimerTon poème est magnifique, où l'on ressent profondément ta tristesse d'avoir perdu des êtres chers, il me parle beaucoup dans cette période de deuil. Merci Marine pour cette participation , je t'embrasse .
RépondreSupprimerCoucou Marine, j'aime ce poème de vers libres qui se répand comme des vagues, d'ailleurs il est aussi agréable à regarder qu'à lire
RépondreSupprimerLa terre est vivante, elle gronde, mais elle apporte de la richesse aux hommes qui profitent de ses cadeaux de vie
De beaux espoirs dans ce poème face aux volcanq de haine
RépondreSupprimerMagnifique ce poème, je suis retournée...Bisous doux dimanche
RépondreSupprimerMerci pour ta visite au billet autour de nos diapositives.
RépondreSupprimerAvec le temps, tout s'en va, aurait dit le poète,
mes diapos deviennent diaphanes.
Et moi, un bout des Alpes, et toi, les Pyrénées.
Ça vaudrait le coup?
Mais tu y es retournée avec un appareil numérique.
✅ Yann
Bonjour Marine,
RépondreSupprimerUn puissant poème qui laisse à penser... Je te félicite et je t'embrasse.
Annie